Pourquoi j'aime tant l’Amérique latine
Comme tu as pu le constater si tu as lu mon carnet de voyageuse solo en tant que femme qui voyage seule en Amérique centrale, l’Amérique latine est l’endroit que je porte le plus dans mon cœur. Et comme dans tous les pays que l’on visite, il y a des choses qu’on a hâte de retrouver, et d’autres… Un peu moins.
Je t'offre ici un condensé de mes plus et de mes... un peu moins concernant l'Amérique latine.
Amérique latine — Mes plus : Ce que j’ai hâte de retrouver en Amérique latine
Les paysages à t’en faire décrocher la mâchoire. Leur variété. Leur immensité. Le « WTF » qu’elles font exploser dans ton regard.
La langue. Particulièrement les « —ito » et les « —ita » que les latino-américains emploient à tout va pour « mignoniser » quelque chose.
La chaleur des gens. Le fait qu’ils soient tactiles, te prennent dans leurs bras grands comme ça parce que leur coeur, il est grand comme ça.
La musique collé-serré, au corps autant qu’à l’âme. Salsa, bachata, merengue à tous les coins de rue. La guitare aussi s’en donne à corde joie.
Le bruit. Leur bruit. Parce que c’est un bruit joyeux, un merveilleux bordel, qui roule et danse dans les oreilles.
La brise tiède sur tes épaules et sur tes bras, en bord de mer, lorsque la chaleur écrasante de la journée s’allonge dans un hamac et, pour quelques heures, oublie de t’enserrer.
L’impulsivité. La bonne. Pas celle qui te met en danger. Celle qui te fait t’ouvrir à l’étrange. À l’étranger.
Leur façon de profiter du moment présent. Sans question. Sans affabulation. Sans régression. la façon dont ils se coulent avec volupté dans l’Ici et Maintenant.
Amérique latine — Mes un peu moins : Ce que j’ai moins hâte de retrouver en Amérique latine
Les moustiques qui piquent dare-dard n’importe quelle peau d’occidento—gringo parce que du local, ils en ont déjà trop.
Les insectes XXL et tout particulièrement les cafards bien replets et luisants.
Les faiblesses de mon estomac, estomac qui me montre souvent avec passion que décidément, certains aliments ou certaines cuissons ne passent pas.
Les chiens pas vraiment rassurants au détour d’une ruelle pas plus rassurante. En bref : pas du tout comme ceux de mon recueil de nouvelles sur les animaux ^^
Je pourrais creuser encore pour les moins mais je n’en ferai rien : parce que même avec quelques trucs qui ne sont pas top, Amérique latine, c’est vers toi qu’avec tellement de joie, à chaque fois, je galope.
- Pour en savoir plus sur mon voyage au féminin au long cours et en solo en Amérique centrale
